FAQ - Systèmes MAC OS

J'aurai du titrer : "YOSEMITE, je te hais".

Pourquoi ?
Parce que, même en version 10.10.2, il subsiste trop de bug vraiment gênant. Sans parler de sa lenteur.

Exemple : Sur mon Macbook pro Mid 2010 avec un SSD, avec Mac OS 10.9.5 le démarrage complet de la machine prenait moins de 10 secondes. Depuis Yosemite, il faut un peu moins de 20 secondes. Bien sûr, ce n'est pas grand chose, mais avec un DD mécanique, il faut près d'une minute.
Ce qui veut dire que le système s'est considérablement alourdi, mais on ne sais pas trop à cause de quoi.

Si vous avez déjà fait toutes les mises à jour relatives à Yosemite, trop tard. Impossible de revenir en arrière. La cause ? Avec la mise à jour du système, vous avez toutes les applications Apple qui ont été mises à jour et tous les fichiers créés ne sont pas rétro-compatibles.
Pour ma part, à cause principalement de ma bibliothèque Aperture, je suis condamné à rester sur Yosemite.

A quand une version qui fonctionne ?

Un peu d'histoire.
Jusqu'à Mac OS 10.6, la gestion du serveur se faisait à l'aide de 2 applications. Une pour gérer les services et une autre pour la gestion des utilisateurs.
Nous avions alors une grande souplesse de paramétrage comme nous en sommes en droit de l'attendre dans un serveur. A mon goût, c'est le meilleur système serveur qu'Apple ait produit dans sa version finale (10.6.8).

10.7
Premier changement. La version du système client et serveur sont les mêmes. Pour avoir un serveur, il y avait juste qu'à télécharger l'application serveur et cette application installait les éléments nécessaire pour transformer le système de base en système serveur. Celle application n'étant pas terminée il restait quand même les applications dédiées serveur : une pour gérer les certains services et une autre pour la gestion des utilisateurs Open Directory.
De plus tous les paramètres des services sont stockés dans un dossier sur le disque. Et cerise sur le gâteau, ce dossier peut se trouver sur n'importe quel disque.

Depuis la 10.8, tout est regroupé (enfin) dans une seule et même application. Il subsiste cependant la gestion des utilisateurs. A quoi sert elle ? Mystère. Peut-être pour les nostalgiques, en tout cas je n'en ai jamais eu besoin.
En fait, ce que j'ai surtout remarqué c'est la pauvreté des options dans les réglages. Je pense qu'Apple s'est focalisé sur tout ce qui concerne iOS en oubliant le reste.
Le gros problème, est qu'une fois qu'un service a été lancé, bien qu'il soit inactif le serveur garde ce port ouvert et il est impossible de l'utiliser pour une autre application.
A ne pas utiliser :
DHCP : Corruption régulière du fichier de configuration
OPENDIRECTORY : Crash régulier de la base LDAP. Si vous devez l'utiliser, faites une sauvegarde de la base à chaque modification d'un utilisateur.

Depuis 10.10, la version serveur a été nettement améliorée. Maintenant nous avons la possibilité de changer les ports des services.
Plus de soucis avec DHCP et OpenDirectory, ou presque.
OpenDirectory, bien qu'il reste opérationnel, il arrive qu'on ne puisse plus rien faire avec, CAD modification des utilisateurs ou groupes. Réellement pénible.

Mac OS 10.11
Enfin une APP serveur stable. Mais elle reste trop ciblée vers les appareils Apple et il devient très difficile de créer un serveur d'entreprise avec cette APP.
De plus, Apple ne proposant plus de vrai machines serveur, il reste préférable de se tourner vers d'autres OS beaucoup plus "populaires".

Reste le problème des services qui même arrêtés continuent à occuper leurs ports.

En tous cas, il est déconseillé d'ajouter quoi que ce soit comme applicatif sur un serveur Mac OS, sauf si cet applicatif nécessite certaines ressources serveur.

Depuis Mac OS 10.12
L'application Server s'est réduite comme peau de chagrin ne laissant plus beaucoup de services utiles.
Elle est devient de plus en plus ciblée pour les appareils IOS.
Question : en avons-nous réellement besoin ? La réponse est non.
J'ai créé spécifiquement une FAQ aux alternatives à Mac OSX.
Alors que faire pour la remplacer?

Il arrive parfois que la base de donnée de Spotlight soit corrompue. Vous avez les symptômes suivants :
- La recherche de fichiers n'aboutie pas (alors que vous avez le fichier sous les yeux)
- Time Machine est très lent.

Ouvrez le Terminal
Passez Super utilisateur : -> sudo -s
Lancez les commandes suivantes
-> rm -rf /.Spotlight-V100
-> rm -rf /.Spotlight-V200
-> mdutil -i off /
-> mdutil -i on /
-> mdutil -E /

Attendez que l'indexation soit terminée.

Deux solutions pour remédier à ce problème :
- Reset du Finder
- Reset Spotlight.

Avant de faire un reset du Finder, éjectez le volume de sauvegarde Time Machine
Ensuite depuis le Menu Pomme -> Forcer à quitter -> sélectionner "Finder" et cliquer sur relancer.
Montez le disque de sauvegarde sur le bureau (si ce n'est pas une sauvegarde Time Capsule) et lancez la sauvegarde Time Machine.

Si le problème n'est pas résolu, faite un RAZ de Spotlight

Il arrive parfois que la synchro entre le dossier de départ d'une session et celui qui se trouve sur le serveur ne fonctionne plus.
Dans ce cas suivre la procédure ci dessous :
Sur le poste de travail
Supprimer les dossiers ~/library/FileSync ainsi que ~/.filesync directory

Sur le serveur, supprimer les même dossiers dans le dossier de l'utilisateur.

MacKeeper est la plaie des systèmes Apple et il est pratiquement impossible de s'en débarrasser totalement sans avoir recours au Terminal.

Si vous êtes habitué au Terminal, saisir la commande directement dans le terminal. Dans le cas contraire, voici la procédure à suivre :

1. Si vous avez un volume de sauvegarde monté (Time Machine ou autre), éjectez-le.
2. Lancez le Terminal (/Applications/Utilitaires/Terminal).
3. Copiez intégralement la commande suivante et collez-la dans le terminal :



Traduction :
cherche (trouve) sur tout le disque et volumes montés, tout fichier ou dossier ayant la chaîne “mackeeper” dans son nom et supprimer tout ce qui a été trouvé, et en force si besoin est.
Si vous avez nommé MacKeeper.txt, et que vous souhaitez le conserver, renommez le. Après, il sera trop tard ! En cas de doute, exécutez la commande ci-dessous pour vérifier les fichiers trouvés.

4. Entrez votre mot de passe

Patientez 2 ou 3 minutes jusqu'au retour du Prompt.

Si vous voulez vérifier que cette commande a supprimé tous les fichiers “mackeeper”, vous pouvez taper la commande suivante :

sudo find / -iname *mackeeper* (valider et patienter….

Cette fois-ci, le programme est totalement désinstallé !

Notez bien que si vous avez encore des pop-ups MacKeeper quand vous naviguez sur internet, cela ne veut pas dire que le programme est encore installé sur votre machine. Ces fenêtres surgissantes sont une des nombreuses techniques publicitaires qu’ils utilisent… Cela dit, vous pourrez certainement limiter leur fréquence en faisant un peu de ménage dans vos cookies.

Si vous démarrez votre machine avec Trim-enabled activé sur votre système et que vous obtenez le panneau gris "interdit", c'est que la signature des extensions système a été réactivée.

Dans ce cas, utilisez la procédure suivante :

1. Démarrer en mode "Recovery" en pressant en même temps les touches Cmd+R pendant le démarrage.
2. Votre disque est-il protégé (FileVault)? Si ou en premier lancez l'utilitaire de disque et déverrouillez/montez le disque.
3. Lancez le terminal
4. Excécutez la commande :
   
   Code TEXT :

   nvram boot-args

5. Si vous avez “kext-dev-mode=1″, passez à l'étape 6.
   Si vous avez “error getting variable”, tapez la commande :
   
   Code TEXT :

   nvram boot-args=kext-dev-mode=1

6. Rédémarrez en more "Recovery"
   
   Code TEXT :

   reboot

7. Exécutez les commandes suivantes :
   
   Code TEXT :

   cd "/Volumes/Nom du disque"

   
   
   Code TEXT :

   touch System/Library/Extensions

   
   
   Code TEXT :

   kextcache -u "/Volumes/Nom du disque"

8. Attendez que ce soit terminé. Ça peut prendre du temps (entre 5 et 10 minutes) et redémarrez la machine normalement.
   
   Code TEXT :

   reboot

   
   N'oubliez pas de réactiver le TRIM une fois redémarré.
   

Astuces.
Très souvent les disques dur des Mac s'appellent Macintosh HD.
Si vous saisissez ce nom directement dans une ligne de commande, vous avez de fortes chances que ça ne fonctionne pas. Dans ce cas, saisissez les 3 premiers caractères et appuyez sur la touche "TAB".
Si vous êtes bien dans le répertoire "Volumes" et que le nom du disque existe il s'affichera sur le Terminal avec la bonne Syntaxe.

Avec l'arrivée de la 10.10.4, enfin Apple autorise l'utilisation d'un SSD non Apple en permettant l'activation du TRIM sans passer par des utilitaires tiers.

La manipulation est très simple.

1. Désactivez le TRIM avec l'utilitaire qui vous a permis de l'activer.
2. Installez la version 10.10.4 ou ultérieure
3. Depuis le terminal, exécuter la commande :
   

et suivre les instructions.

Une fois la machine redémarrée, allez voir dans les information système, section SATA/SATA Express, ligne "Prise en charge du Trim". Si c'est "Oui", le Trim est activé.

Récupérer l'utilitaire de disque Yosemite depuis une sauvegarde ou d'un système installé.
Copiez-le sur le bureau. Ne le mettez pas ailleurs, vous le déplacerez plus tard.
Lancez le terminal et exécutez la ligne suivante :

Voilà, vous avez récupéré votre ancien utilitaire.
Avant de déplacer dans le dossier utilitaire, renommez-le en "Utilitaire de disque Yosemite" pour le distinguer de la version originale.

Source MacBidouille -> KRAZUBU

Qu'est-ce que Fusion Drive

Si vous voulez supprimer un Fusion Drive, ou en créer un, vous avez probablement la réponse à cette question, et vous passerez au chapitre suivant. Si vous ne connaissez pas cette technologie, je vais essayer de vous l'expliquer très rapidement, en oubliant les détails, car ce n'est pas l'objet de cet article.

Fusion Drive consiste à profiter de la rapidité d'un SSD, tout en ayant une grande capacité de stockage d'un disque dur traditionnel. Pour cela, on associe deux disques internes - un SSD et un HDD - de manière logicielle. Mac OS X pourra ensuite placer les fichiers les plus fréquemment utilisés, sur le SSD, et les autres documents sur le disque dur, de manière totalement transparente.

Comment casser un Fusion Drive ?

Si cette méthode vous intéresse, c'est probablement que, comme moi, votre ordinateur vous a honteusement lâché lors d'une installation logicielle. Quoi qu'il en soit, il vous faut casser le Fusion Drive initial, pour ensuite pouvoir le recréer ou tout simplement pour pouvoir réutiliser le SSD ou le HDD tout seuls.

Avant de commencer, il est évident qu'il vous faut sauvegarder toutes vos données, puisque l'opération va supprimer les partitions de votre Fusion Drive. Une fois que c'est fait, s'il s'agit de votre volume système, démarrez sur la partition de restauration, et lancez le Terminal. S'il s'agit de deux disques non-systèmes, vous pouvez lancer le Terminal depuis votre session.

Tout d'abord, nous allons supprimer le volume logique qui regroupe le SSD et le HDD. Comme il va nous falloir l'identifiant unique de ce volume, dans le Terminal, tapez :

Tout en haut de la réponse Terminal, vous verrez le Logical Volume Group suivi par son identifiant, qu'il vous faudra copier. C'est le "lvgUUID" qu'il faudra remplacer dans la commande ci-dessous. Pour supprimer ce volume et donc "casser" votre Fusion Drive, tapez :

Vos deux disques sont maintenant formatés en Mac OS X Journalisé (JHFS+, en anglais). Cette étape peut-être suffisante, mais si vous voulez recréer un Fusion Drive, le chapitre d'après est pour vous.

Comment créer un Fusion Drive ?

Les prérequis du paragraphe précédent s'appliquent ici. Pour commencer, nous allons demander au Terminal de lister les disques disponibles avec la commande

Vous aurez une succession de /dev/disk* qui sont les volumes montés sur votre ordinateur. Il vous appartient de repérer les deux volumes que vous voulez associer dans un Fusion Drive. Je les ai repérés par leur taille respective. Il s'agit de /dev/disk0 et de /dev/disk1

Nous allons créer le volume logique comprenant les deux disques physiques. Dans la commande ci-dessous, vous pouvez choisir le nom que vous voulez pour ce volume, à la condition que s'il est en plusieurs mots, il ne faudra pas oublier les guillemets. Dans mon cas :


On demande à l'utilitaire de disque de créer, en utilisant la technologie coreStorage, un volume "Fusion Drive" utilisant les disques disk0 et disk1. Notez qu'à la fin de cette requête, un nouveau "lvgUUID" est généré, et qu'il est important pour la suite. Le cas général pour cette commande est :


Le volume logique étant créé, il ne manque plus que la partition pour pouvoir copier des données dessus. Souvenez vous du "lvgUUID" de l'étape précédente, et nous allons rajouter une variable, le type de partition : "jhfs+", pour Journaled HFS+, Mac OS X Journalisé en français. En fin de commande, vous indiquez le volume total que vous voulez attribuer à cette partition ; pour faire simple, disons 100%. La commande est donc :

Ce qui donne, par exemple :

L'autre possibilité, est qu'au lieu de créer le volume avec la ligne de commande, est de lancer l'utilitaire de disque et de créer le volume avec le "clicodrome" comme pour n'importe quel disque dur.

À ce stade, nous avons terminé, et je pense que vous êtes aussi heureux que moi que ça se finisse.

Vous pouvez donc profiter de votre nouveau Fusion Drive.

Source Lokan.fr

Source Apple.

Voici la syntaxe de base de cette commande. Remplacez volumepath par le chemin d’accès à votre clé USB ou à un autre volume, et installerpath par le chemin d’accès à l’app d’installation d’OS X.



Dans les exemples suivants, le programme d’installation d’OS X se trouve dans le dossier Applications et le volume (clé USB, par exemple) se nomme MyVolume :

Exemple pour Sierra :



Exemple pour El Capitan :



Exemple pour Yosemite :



Exemple pour Mavericks :

Machine source -> est la machine à sauvegarder
Machine distante -> est la machine qui recevra les sauvegardes, Ici un Mac sous OSX.

Prérequis :
Sur Mac OSX rsync est déjà installé.
Vous devez être administrateur
Le compte root doit être activé.

Si vous souhaitez sauvegarder un Mac vers un autre Mac, il vous faudra télécharger l'application CronniX pour définir la périodicité. Ca ajoutera une tâche CRON au système.
NDLA : Time Machine reste la méthode la plus simple pour sauvegarder un Mac

Problématique :
Pour que la sauvegarde se fasse en tache CRON, la connexion à la machine distante doit se faire sans mot de passe depuis la machine source.

Sur la machine source :

puis appuyez 3 fois sur entrée.

Cette commande génère une clé publique et une clé privée (dans l'ordre, id_rsa.pub et id_rsa) dans le dossier de l’utilisateur qui est connecté en ssh

Si un message vous informe que la clé existe déjà, n'insistez pas. Passez à l'étape suivante.

Sur la machine distante :
Création du dossier /var/root/.ssh


Sur la machine source
Transfert de la clé sur la machine distante :

Saisir le mot de passe du compte root.

Tester la connexion :

puis confirmer avec « yes » (si nécessaire). Logiquement, il n'y a plus de mot de passe à saisir.

Script Simple de Sauvegarde


Enregistrez ce fichier en donnant un nom, par exemple : sauvegarde.sh

NB : l'extension ".sh" est impérative sinon vous ne pourrez pas l'exécuter depuis le terminal.

Concernant le répertoire à sauvegarder et le répertoire de destination, bien entendu on part de la racine du système pour écrire tout l’arborescence. Exemple /mnt/usb1/sauvegarde.
Pour Mac OSX, il faut utiliser /Volumes/xxxxxxx ou xxxxxxx est le nom du disque tel qu'il est nommé sur le bureau.
Bien respecter les minuscules et les majuscules dans tous les cas.

C'est la méthode la plus simple pour synchroniser deux répertoires.
NB : Si un fichier a été supprimé de la source, il sera automatiquement supprimé sur la destination

Transférez le fichier vers la machine source.

Sur la machine source, à l'endroit où se trouve le fichier, depuis le terminal saisir

En cas d'erreur, un message vous indiquera ce qui ne va pas.

Si tout c'est bien passé, vous pouvez programmer une tache CRON qui exécutera votre script sans intervention de votre part.

La toute première chose est de trouver sur le Web, une procédure pour installer "ssh-copy-id" sur le Mac.
Les développeurs d'Apple n'ont pas trouvé utile de le laisser cette commande Unix dans leur système, et c'est bien dommage.

TANT QUE VOUS N'AVEZ PAS INSTALLÉ CETTE COMMANDE, INUTILE D'ALLER PLUS LOIN.

Ensuite rendez-vous dans les FAQ Linux "Création d’une sauvegarde RSYNC entre 2 serveurs Linux"

Source apple.stackexchange.com

Après installation ou mise à jour vers ElCapitan, la première sauvegarde TimeMachine est très lente.
La cause :
Apple a défini des priorités dans les process du système.
La solution :
Créer un fichier sur le bureau "fix-el-capitan-slow-time-machine-speed.plist" (Sans les guillemets).

Faites un copier/coller du code ci-dessous et enregistrez-le.


Transférez-le dans le dossier /Library/LaunchDaemons/

Attribuez-lui les droits root :


Exécutez la commande pour le lancer.


Relancez la sauvegarde TimeMachine.

Source : manuals.gfi.com

Depuis l'arrivé de l'application SERVER sur Mac OS, il n'est pratiquement plus possible de lancer une autre application utilisant les ports 80 et 443, et ce même si aucun service web n'est activé.
Apple se les réserve et c'est réellement gênant.
La solution ultime est de désactiver ces ports dans les fichiers de démarrage du Mac OS.

Yosemite et El Capitan

Ouvrez le terminal

Saisir votre mot de passe.

Editer le fichier de configuration Apache :


En regardant le fichier, vous vous apercevrez que par défaut, il "écoute" sur les ports 80 et 443 (listen 80 et listen 443). Commentez ces deux lignes en plaçant le signe # en début de ligne.
Eventuellement vous pouvez aussi commenter les lignes contenant 8008, 8080, 8443, 8843.
Sauvegardez et redémarrez la machine.

Mountain Lion et Mavericks
La commande suivante désactive proprement le service Apache intégré au système et libère les ports 80 et 443.

Ouvrez le terminal

Saisir votre mot de passe.

Saisur la commande :


Redémarrez la machine.

Qui n'a pas eu de soucis avec le mot de passe d'une session utilisateur ?
Moi si. Et de nombreuses fois. Principalement lorsqu'un employé rend sa machine sans donner son mot de passe. Les données deviennent inaccessibles et par conséquent, impossible d'accéder aux préférences système pour faire le reset du mot de passe.

Le pire qui est envisagé :
Au démarrage de la machine, très rapidement la machine vous demande de vous authentifier.
Là, c'est mort. FileVault est activé et il n'existe aucune autre solution pour accéder à la machine. Même si vous la démarrez en mode "Disque Cible", vous n'aurez pas accès au disque.
La solution ? Très simple : reformater le disque et réinstaller le système.

Le moins pire :
Il n'existe qu'une seule session utilisateur. Nous allons donc tromper le système en lui faisant croire que c'est un premier démarrage. De cette façon tout le process de premier démarrage sera exécuté et nous en profiterons pour créer la session de secours pour enfin accéder à la machine.

Démarrage en mode Single-user.
Démarrez le Mac en maintenant les touches cmd + s enfoncées.
Des lignes de texte blanc sur fond noir défilent. Laissez faire jusqu'à qu'en bas de l'écran s'affiche
localhost:/ root#

Attention vous êtes sous clavier US (QWERTY). Certaines touches de votre clavier Français ne coïncident pas avec les touches US.
Pour une compréhension plus simple, les espaces seront représentés par •. Bien sûr, il ne faut pas saisir ce signe •

Pour accéder au disque, il faut le monter. Mais au préalable, pour s'assurer de son bon état on va le tester.

le signe / se trouve en = et le signe - se trouve en )
Touche retour pour valider.

Maintenant on monte le disque.

le signe m se trouve en , et le signe w se trouve en z
Touche retour pour valider.

On va renommer le fichier qui informe le système que c'est un simple démarrage. En renommand ce fichier, au redémarrage le système va relancer une procédure de premier démarrage.

Touche retour pour valider

Redémarrez la machine

Touche retour pour valider.

Maintenant laisser le système vous guider pour créer un nouvel utilisateur.
Surtout prendre un autre nom d'utilisateur que celui existant. On doit créer une session de secours pour accéder à l'autre session qui est bloquée.

Ce trousseau, quand il ne fonctionne plus bien, c'est une plaie.
Vous venez de changer le mot de passe d'une session depuis une autre session.
C'est bien ! Mais le mot de passe du trousseau ne sera pas changé car vous le changez depuis une autre session.
Vous avez beau tenter toutes les réparations, rien y fait, il continue à nous faire ch...

Alors, voici comment y remédier.
Connectez-vous depuis une autre session administrateur. Si vous n'en avez pas, créer-la. C'est indispensable.
Assurez-vous que la session dont le trousseau est HS est bien fermée. Réellement fermée. Pas en stand-by.

Ouvrez le terminal et lancez la commande suivante

Taper retour pour valider. Le mot de passe de la session administrateur vous sera demandé. Il est à l'aveugle, CAD que vous ne voyez pas ce que vous tapez.


Taper retour pour valider


Taper retour pour valider

Vous avez la liste des dossiers utilisateurs. Notez le nom du dossier de l'utilisateur en question et saisir

Taper retour pour valider


Taper retour pour valider

Vous avez un dossier et 2 fichiers à supprimer. Ne touchez surtout pas à ceux commençant par un point (.)
Suppression des fichiers

Taper retour pour valider


Taper retour pour valider

Suppression du dossier

Taper retour pour valider

E61xxx est un exemple. Le plus simple est de saisir les 4 premiers caractères en respectant majuscules/minuscules et ensuite appuyer sur la touche TAB (à gauche de la touche A). Il vous affichera la totalité du nom du dossier.

Terminé.
Fermez le terminal, fermez la session et connectez-vous à l'autre session.
Lorsque vous mémoriserez un mot de passe, tout se passera bien sans alerte de trousseau.

Lors de l'installation d'une version de mac OSX sur une ancienne machine, vous avez certainement rencontré ce message :

Ce qui est rageant est que c'est ce même installeur qui vous a souvent permis de réaliser l'installation de MacOS.
Pas de panique, c'est simplement que votre installeur est limité dans le temps.
Il faut simplement changer la date de la machine. Mais avant il vous faudra trouver la date de création de votre installeur. C'est facile, si vous en avez la possibilité, depuis le Finder regardez la date de création de l'installeur.
Ensuite déconnectez votre Mac du réseau et modifiez la date depuis les préférences.
Si vous avez déjà démarré le Mac, vous avez la possibilité de changer la date directement depuis le terminal :

Syntaxe du code :

Par rapport à la date de création de l'installeur, utilisez cette date en ajoutant 6 mois.
Vous pouvez lancer l'installation de Mac OS

Ouvrez le Terminal et uttiliser la commande :
Pour Mac os Big Sur, par exemple :


Plutôt que de taper la commande complète, car elle est variable en fonction du système,

• Dans le terminal, taper "sudo " (espace après la commande sudo)
• Clic droit sur l'installeur -> Afficher le contenu du paquet
• Naviguer jusqu'au dossier Ressources et faite glisser le fichier "createinstallmedia" dans la fenêtre du Terminal.
• A la suite taper un espace et ajouter --volume suivi d'un espace
• Faire glisser le volume de destination monté sur le bureau. Vous devez obtenir une ligne de commande ressemblant à celle notée ci-dessus.
• Valider la commande avec la touche retour.
• Répondez aux questions et laisser faire.
  

Note : Le mot de passe se tape à l'aveugle, CAD que le curseur ne bouge pas pendant la saisie du mot de passe.
Le volume de destination ne doit pas être inférieur à 16 Go

Pour accélérer la navigation au sein des fichiers SMB, vous pouvez empêcher macOS de lire les fichiers .DS_Store se trouvant dans les partages SMB. De cette façon, le Finder utilise uniquement les informations de base pour afficher immédiatement le contenu de chaque dossier dans l’ordre alphanumérique. Utilisez la commande suivante dans Terminal :



Ensuite, déconnectez-vous de votre compte macOS, puis reconnectez-vous.

Pour réactiver le tri, utilisez la commande suivante :

Vérifiez si un fichier /etc/nsmb.conf est présent sur votre ordinateur macOS.
Si un fichier /etc/nsmb.conf est présent sur votre ordinateur

Ouvrez le fichier /etc/nsmb.conf.
Définissez la valeur signing_required sur « no » de façon à obtenir le résultat suivant :

Enregistrez le fichier /etc/nsmb.conf.
Déconnectez, puis reconnectez les éventuels partages SMB montés afin d’appliquer les modifications.

Si aucun fichier /etc/nsmb.conf n’est présent sur votre ordinateur macOS

Ouvrez Terminal.
Créez un fichier /etc/nsmb.conf dont la valeur signing_required est définie sur « no » à l’aide des commandes suivantes :

Déconnectez, puis reconnectez les éventuels partages SMB montés afin d’appliquer les modifications.